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Et si le Maître incontesté de l’École hollandaise du XVIIe siècle, Rambrandt Harmenszoon van Rijn, habituellement désigné sous son seul prénom, avait pratiqué le golf… ou ce qu’on appelait à l’époque le « kolf », cela aurait été sans doute un excellent joueur, aussi talentueux sur les greens que dans les ateliers de peinture.

Ce grand peintre est l’un des plus grands artistes de l’histoire de la peinture. Du tableau emblématique La Ronde de Nuit aux scènes bibliques, en passant par son autoportrait, il a réalisé près de quatre cents peintures, trois cents eaux-fortes et trois cents dessins. Parmi cette œuvre monumentale se trouve une eau-forte aussi originale que golfique : Le Joueur de Kolf.

Comme l’écrivait si brillamment André-Jean Lafaurie dans le « Dictionnaire amoureux du golf », ce furent les Hollandais qui inventèrent le golf ou ce qu’on appelait le « gauwff » ou « koff », mots dérivés du vieil allemand kolb qui signifie « bâton ».

En 1654, dans ces années instables où Rembrandt vit au-dessus de ses moyens et où les créanciers le harcèlent, le maître réalise une gravure sur papier de 9,50×14,30 cm représentant au premier plan un jeune homme absorbé dans ses pensées, à l’arrière-plan, à gauche, un joueur de kolf et à droite, deux hommes en conversation. La technique d’exécution du personnage, plongé dans ses réflexions, a été définie par des lignes de modelage alors que les trois autres paraissent avoir été réalisés par l’utilisation de simples hachures de contour (1).

Cette eau-forte est exposée au Musée d’art et d’histoire de Genève.

Quant à imaginer Rembrandt sur un champ à taper dans une bille de bois avec un instrument recourbé, munie d’une tête élargie (2), nous pourrions aussi le visualiser avec Jan Lievens qui fut l’un des principaux collaborateurs de Rembrandt, puis son concurrent, et Lucas Van Leyden, l’un des meilleurs graveurs de l’histoire de l’art. Un trio de choc pour le bien de la peinture hollandaise et de la promotion du… kolf.

(1): https://lnkd.in/eBTZNW-T
(2) Le Dictionnaire amoureux du golf, de Andre-Jean Lafaurie, Editions Plon

Parfois, il y a de ces opportunités que l’on doit saisir pour ne pas les regretter.

Sans conteste, les réseaux sociaux offrent ce genre d’opportunités.

Et s’il y a un seul réseau qui peut promouvoir un auteur, c’est celui de Linkedin.

Lionel Boscher anime un site internet dédié au golf, en l’occurence un podcast traitant des actualités de la filière golf. Chaque semaine, Lionel accueille un institutionnel ou un professionnel de l’industrie.

Le 20 septembre, je répondais à son interview afin de dévoiler ma vision du golf, les rouages du Grand Prix Littéraire du Golf dont je suis un des fondateurs et mes projets littéraires.

Vous pouvez retrouver cette interview en cliquant sur le lien ci-dessous https://www.parlonsgolf.fr/2022/09/20/patrick-bedier-ecrivain/

Épisode 30 pour 30 minutes d’entretien.

Bonjour à tous.

Après l’émission Golf + Le Mag du 25 novembre 2019 sur Canal + où Thierry David présentait mon dernier polar, Les Plumes de l’Albatros est venu se nicher dans le dernier numéro du Journal du Golf Magazine du mois de décembre. 

Mais qu’en dit la rédaction ? 

« Un kidnapping a eu lieu au Golf des Albatros dans le Morbihan. La cible : Aurélien Brezon’ek, professeur de golf. La demande des ravisseurs : trente millions d’euros. Mais pourquoi diable ce pro vaut-il autant d’argent ? Un roman de Patrick Bedier aux Editions Iggybook. »

Extrait :

« Je tenais à cette liberté de choisir, cette liberté si chère qui agite tous les réfugiés de la terre, la liberté d’aimer sans contrainte, sans loi ni morale… Etre tentée de repousser les limites pour mieux connaître ses faiblesses. Comme un swing de golf, quand la balle monte très haut dans le ciel d’un bleu très pâle, à ce point inaccessible où les albatros et les goélands jouent avec le vent dans les nuages, où le sourire des anges repousse la colère de nos coeurs et où les pensées s’emmêlent aux rayons du soleil. » Les Plumes de l’albatros, 2019 ©

15 euros.

Bonjour à tous
Le 10 mai 2019, souvenir impérissable, à la médiathèque de Saint Hilaire de Riez, j’assistais à la lecture du palmarès concernant le concours littéraire organisé par l’association vendéenne « Parler les lieux ». Lauréat parmi quatre autres auteurs, j’ai écrit un article qui est paru dans le numéro 21 de l’Association des Ecrivains Bretons dont j’ai l’honneur de faire partie. Vous pouvez retrouver la revue sur :

INFO-AEB-N-21-juin-2019-1

Bien à vous tous

Patrick Bédier